31.05.2011:
NEWS 2011/3
07.04.2011:
Our
newsletter NEWS 2011/2
04.04.2011:
Changing
the logo: The lion and the rat
28.02.2011: Our
newsletter NEWS 2011/1
29.04.2008:
Discussions will be held with ING regarding employee
share ownership. We took part to the General Meeting
of shareholders on April 22 in Amsterdam. We made
a communicaton about the table of employee share
ownership in the 50 largest European banks in
2007 (see below). THis table shows that ING is
completely out of the running compared to most
other large banks. While being number 6 for market
capitalisation (in May 2007) and number 8 for
the number of employees, ING is only number 36
for employee share ownership !! Most large European
banks have employee share plans for all employees
("broad based" employee share plans). ING doesn't.
ING couldn't stay longer at the far end. It is
time for update.
31.03.2008: Table
of employee share ownership in the 50 largest
European banks in 2007
30.04.2007: ING
GROUP held its annual General Meeting of Shareholders
on April 24 in Amsterdam, during the whole day.
Two main points created hot interventions and
strong debates:
1. About remuneration earned by Michel Tilmant
and other Directors.
"Absurd level of remuneration", "exorbitant",
"scandal"… Michel Tilmant's remuneration
in 2006 was more than 4 millions Euro, 10 to 20
times more than a Prime Minister or the President
of United States. Lack of transparency of compensation
was also attacked.
In this context, our colleague Pierre Vanrijkel
asked again about employee share ownership for
ING. In all 50 largest European banks, each employee
holds 16.546 Euro in shares of its company, in
average. Each of the 70.000 employees of UBS holds
86.830 Euro in average. ING is far below, number
37, with only 1.535 Euro held by each employee,
in average. 10 times lower than in all 50 banks.
2. About the "Administratie Kantoor"
system.
ING is one of the latest Dutch groups using this
system. It is the guaranty for ING's high management
to get a majority of votes in General Meetings.
They promised to change the system, but not before
2010. In the meantime, let's merrily go on, avoiding
any shareholders' control. Why 2010, no worthwhile
answer of course.
Download Pierre
Vanrijkel's intervention and table of employee
share ownership in the 50 largest European banks
26.04.2006: We took part to the Annual General
Meeting of Shareholders of ING Group on April
25 in Amsterdam.
The meeting has been quite tumultuous and lasted
more than 8 hours, from 10.30 a.m. to 7 p.m.,
leaving the assistance a short sandwich break
of 15 minutes only!
Many shareholders congratulated the administrators
and the personal for having reached very good
growth and results.
Nevertheless, again, as former years, shareholders
hardly criticised the bad corporate governance
practice at ING group.
Till a short time ago no voting rights were recognized
to shareholders and the top management was quite
out of control.
This faulty situation has been changed into something
more sane.
But the ING Foundation system with its share certificates
still gives it a too powerful and non justified
voting importance. It lowers down the impact of
shareholders and keeps the situation quite insane
with respect to corporate governance practice
and meaning.
Many shareholders present in the assembly hardly
argued and compared the system as a "pure soviet
controlled one".
In such a dramatic context some issues have been
hardly emphasized by the Assembly.
Considering the privileged information toward
the ING Foundation and the one given to shareholders
have not the same value, it has been argued that
this practice must end and that one channel of
relevant information must be open to all shareholders.
Many questions were asked about the ING Foundation
and its management and it has been discussed whether
or not the Foundation's existence should be mandatory
in the coming future.
Again it has been considered that only men seat
in the Board and that no women has been proposed
at a Director position and the fact has been duly
criticized by participants to the General Meeting.
Dividends strategy and policy has been criticized
and has been qualified has a vague and changing
one. It was decided that the Board should clarify
this on next annual General Meeting.
Directors remuneration has been violently criticized
as it has been raised up to 80% of their past
years value meanwhile dividends took around a
20% growth only.
About corporate governance, it seems the Board
of Directors gives a rather pitiful image of a
last square battalion in a lost war. Quite a sad
image.
Lastly, the topic of a new employee share ownership
policy has outcome leaving Michel Tilmant in his
still rejecting position without real argumentation.
However this position must move to openness, just
as it is going about corporate governance.
07.04.2005: A
new website gives the info about compensations
and benefits of the top managers of all major
Dutch corporations
16.08.2004: ING
Shareholders' News Nr 4, August 2004
05.07.2004: La Commission Bancaire et Financière
et des Assurances a publié sa lettre à
ING
OFFRE PUBLIQUE DE REPRISE DE ING BELGIQUE
S.A. - QUESTIONS POSEES PAR LA CBFA Le Comité
de direction de la CBFA a décidé, conformément
aux dispositions légales y afférentes, de transmettre
aux actionnaires minoritaires qui ont fait part
de leurs griefs dans le cadre de la procédure
d'offre de reprise lancée sur le solde des actions
de ING Belgique restant dans le public, une copie
de la lettre du 25 mai 2004 avec les questions
adressées par la CBFA à l'offrant, la société
de droit néerlandais ING Bank N.V. Par ailleurs,
et conformément à la possibilité que lui laisse
l'article 57, al. 2, de l'arrêté royal du 8 novembre
1989 relatif aux offres publiques d'acquisition
et aux modifications du contrôle des sociétés,
le Comité de direction a
décidé de publier ce même courrier sur son site
web www.cbfa.be (cliquez ici)
18.06.2004: © La Libre Belgique 2004 Mis en
ligne le 12/06/2004
Banques Ex-BBL: griefs de la CBFA sur la reprise
(Ph.Law.)
Elle invite ING Bank à éclaircir son calcul du
prix de l'Offre publique de reprise. Sans le dire,
elle suit les minoritaires qui estiment que les
335 € sont insuffisants. La Commission bancaire,
financière et des assurances (CBFA) a écrit une
lettre (datée du 25 mai) à la banque néerlandaise,
ING Bank (ING Group), relative à son Offre publique
de reprise (OPR ou «squeeze out») du reste des
actions (0,45 pc du capital) d'ING Belgique. La
missive du président Eddy Wymeersch (et dont nous
avons connaissance) pose huit questions à la banque
mère de l'ex-BBL pour avoir d'amples explications
sur le calcul du prix proposé aux actionnaires
minoritaires. ING Bank avait joint au dossier
le rapport d'un expert indépendant (Petercam)
pour appuyer et justifier le prix de l'action.
Après des calculs, Petercam a évalué le titre
à 335 €. Et jugé qu'il protège «l'intérêt des
porteurs de titres ING Belgique». Pour les minoritaires,
la valeur de l'action a été sous-estimée. Pour
conforter leurs arguments, ils se sont adressés
aux experts de DB&D Associés (Bruxelles). Ces
derniers ont jugé, dans un rapport, l'échantillon
des sociétés retenues par Petercam (ABN Amro,
Dexia, Fortis, KBC, ING Group) pour calculer le
prix de l'action biaisé. Pour DB&D, la proportion
du chiffre d'affaires en assurance de ces sociétés
est trop importante. Se baser sur elles pour former
le prix par action de l'OPR ne peut que mener
à sa sous-évaluation, car le secteur des assurances
est déprimé par rapport au banquier. DB&D a évalué,
au terme d'autres méthodes de calcul, l'action
à au moins 410 €. Bernard Danloy, un minoritaire,
professeur honoraire d'université et expert en
statistique financière est arrivé à un prix de
565 €/action. Aujourd'hui, la CBFA semble suivre
les minoritaires dans leurs griefs. Sur un ton
neutre et dans un langage sibyllin, le gendarme
belge des opérations financières interroge ING
Bank. «L'échantillon est-il homogène eu égard
aux activités exercées en bancassurance par Fortis
et KBC? Cet échantillon n'est-il pas trop restreint?»
Et les 100 millions d'euros? Elle se demande si
des sociétés de pays voisins ayant des activités
proches d'ING Belgique n'auraient pas dû être
prises en compte. Elle exige le détail des calculs
face à certains paradoxes comptables. Elle souhaite
que la méthodologie pour établir le business plan
et les projections soient validées par Petercam.
La CBFA veut aussi voir clair dans la déduction
de moins-values sur immeubles et les modifications
jugées non sensibles qui se sont présentées. La
date de finition du rapport de Petercam l'intéresse,
car elle voudrait savoir si les 100 millions d'euros
gagnés par l'ex-BBL au détriment de l'administration
fiscale dans le cadre d'une procédure judiciaire
ont été pris en compte. Difficile de savoir si
ce sont les nombreux griefs de minoritaires qu'elle
a reçus et transmis à ING Bank qui l'ont décidée
à jouer la transparence, mais celle-ci l'honore.
ING Bank a 15 jours pour répondre et on attend
sa réplique pour mardi ou mercredi au plus tard.
18.06.2004: © La Libre Belgique 2004 Mis en
ligne le 22/05/2004
Banques Ex-BBL: plainte au pénal contre des responsables
(Ph.Law.)
APRÈS LA CONTESTATION du prix de l'offre publique
de reprise (OPR ou «squeeze out») de la banque
néerlandaise ING Bank (ING Group) sur les 0,45pc
restant du capital d'ING Belgique (ex-BBL), certains
envisagent de déposer une plainte au pénal notamment
pour «faux intellectuels de PV d'assemblées» contre
des responsables belges de la banque. Ils entendent
introduire la plainte le 28 mai ou au plus tard
à la mi-juin si le groupe ne prend pas «les mesures
salutaires». Ils frappent fort, car ils réclament,
outre la révision à la hausse du prix de l'OPR,
la démission Michel Tilmant, actuel numéro 2 et
futur patron de la bancassurance. ING Bank a fixé
le prix à 335 €/action alors qu'une évaluation
faite à la demande des minoritaires lui donne
au moins 410 € («La Libre» du 15/05). Un autre
actionnaire minoritaire, Bernard Danloy, professeur
honoraire d'université et expert en statistique
financière, a évalué l'action à pas moins de 565
€. Mais ici se pose une question d'objectivité.
En tout cas, la Commission bancaire, financière
et des assurances (CBFA) a reçu nombre de contestations
et devra prendre position. © La Libre Belgique
2004 - - - - - - - - - - -
14.06.2004: ING
Shareholders' Bulletin Nr 2, June 2004
18.05.2004: Some days ago, we got the info
that a shareholder of BBL attacks the squeeze
out. We received a 4-pages document which put
some doubts about the choice of the expert, his
independance, his expertize and his fairness.
It suggests a "honnest recalculation"
about the value of shares and he concludes that
the price of 335 Euro per share is completely
unreliable en that the Commission for Bank, Finance
and Insurance should urge to a minimum of 565
Euro per share. This document is available on
call to our secretariat.
21.08.2003: new website